Le Petit Lemovice

fouilles et TGV retardés

   Les fouilles sont terminées ...mais l'été fut chaud pour les amoureux et défenseurs du patrimoine. La pétition en est à 3024 signatures ! Le mausolé va etre conservé ...à voir ce que le site va devenir meme si il y a peu de doutes qu'Eurodif ne renonce pas.

En tous les cas la mobilisation fut exemplaire!!!

 

L'article ci dessous vient du blog FO d'Eurodif !

Les fouilles archéologiques rue de la Courtine à Limoges sont terminées

Après 3 mois de fouilles, le chantier a été arrêté aujourd'hui sur le site de l'ancien Flunch. Des découvertes exceptionnelles ont été faites par les archéologues.

 


La plus vaste nécropole du Moyen-Age en Limousin a été notamment trouvée sur ce site peu après le début des travaux de démolition en mars dernier, mais la découverte la plus marquante est celle d'un mausolée datant du Vème ou VIème siècle. Il existe très peu de vestiges de ce type en France.

Le mausolée est protégé à titre conservatoire pendant un an et pourrait être classé prochainement aux Monuments Historiques.
Le projet immobilier pour ce site qui doit accueillir le magasin de vêtement Eurodif sera vraisemblablement réétudié. Une réunion à ce sujet avait lieu en mairie aujourd'hui.

Des associations de défense de la cité ont lancé une pétition début juillet pour la sauvegarde de ce lieu patrimonial.

    Guillaume Pépy etait aujourdhui à Limoges et allonge pour le POLT et c'est tant mieux car cette ligne reste importante meme avec l'arrivée de la LGV. LEs Théoz vont etre remplacés ..par des rames tgv rénovées ou des trains express nouvelle generation ..kezako? quand on cherche sur google on tombe sur le train Disney...c'est pas rassurant lol La circulation va etre souvent coupée totalement lors des travaux ..nous allons etre isolés definitivement :)

Limoges: la SNCF va investir 500 millions d'euros sur le Polt ( Paris, Orléans, Limoges, Toulouse)

Le président Guillaume Pépy est venu à Limoges pour annoncer la rénovation de la liaison historique entre Paris et le Limousin

  • Par Christian Bélingard
  • Publié le 07/09/2012 | 17:02, mis à jour le 07/09/2012 | 17:32
Réunion de travail en présence de Guillaume Pépy, président de la Sncf © Cécile Descubes/France 3 Limousin
© Cécile Descubes/France 3 Limousin Réunion de travail en présence de Guillaume Pépy, président de la Sncf
 
D'importants travaux vont être lancés d'ici la fin de l'année pour rénover la ligne. Les usagers devront s'accomoder pendant douze semaines de perturbations dans la circulation des trains entre le Limousin et Paris. Certains jours, aucun train ne circulera. Mais la modernisation de la ligne est à ce prix et les travaux vont durer pendant plusieurs années.

Guillaume Pépy, le président de la Sncf, est venu clairement dire aux élus de la Région qu'il n'était pas question "d'abandon du Polt", bien au contraire. La réalisation de la liaison LGV prévue entre Limoges et Poitiers est du ressort de RFF et on sait qu'un retard de quelques mois se profile dans les études, ce qui ne signifie pas pour autant que le projet soit remis en cause.

Une importante nouvelle lors de cette visite: la Sncf accepte de revoir à la baisse le devis facturé à la Région Limousin dans le cadre de la convention des TER. Il s'agit d'une convention d'un "genre nouveau", a précisé Guillaume Pépy qui ne se fera pas "au détriment des cheminots" mais qui va permettre d'augmenter de 4 % l'offre actuelle. Concrétement le Limousin devra s'acquiter de 60 millions d'euros par an au lieu des 71 millions d'euros exigés au départ par la Sncf.
    Autre retard : les travaux de "tuyauteries" dans les rues piétonnes : deja qu'elles n'etaient pas reluisantes, maintenant c'est Beyrouth et enfin les commercants reagissent notamment rue du Temple! quels sont les projets de la ville pour les rues piétonnes???? c'est le silence !

Les travaux d’ERDF usent les nerfs des commerçants

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Depuis fin juin, Eva Riffaud, la propriétaire de Goa Jeans, veille à la sécurité de ses clients. Un énorme trou trône devant sa devanture et l’entrée de l’immeuble au 15 de la rue du Temple. Il devrait être rebouché, dans les deux mois qui viennent.? - Photo MR

Depuis fin juin, Eva Riffaud, la propriétaire de Goa Jeans, veille à la sécurité de ses clients. Un énorme trou trône devant sa devanture et l’entrée de l’immeuble au 15 de la rue du Temple. Il devrait être rebouché, dans les deux mois qui viennent.? - Photo MR

La tension est électrique en haut de la rue du Temple. Le chantier de rajeunissement du réseau par ERDF n’en finit plus et fait grincer les dents des commerçants déjà désabusés. Explications.

Coincée entre les rues du Clocher et du Consulat, la rue du Temple fait figure de mal-aimée. Utilisée par les commerçants des deux artères précitées comme lieu de stationnement et comme arrière-boutiques, elle vit au rythme des travaux qui s'y succèdent. 

Pourtant, quelque 18 commerçants y sont installés et les promoteurs s'y intéressent de près, preuve est la magnifique rénovation de l'Hôtel de Lostende. Alors, les usagers en ont ras-le-bol des tranchées, du pavage défoncé et… des trous.

Celui qui sert de pas-de-porte à la boutique d'Eva Riffaud et d'entrée au numéro 15 de la rue a achevé d'exaspérer les riverains. 

D'autant qu'ils ont été avertis à la dernière minute. Le vendredi pour le lundi. « Personne n'a reçu de courrier pour prévenir de la réunion qui, d'après nos interlocuteurs, s'est tenue, déplore la propriétaire de Goa Jeans. Tout comme ses voisins. En plus, ces travaux ont eu lieu durant toute la période de soldes ! On a dû fermer les portes à cause de la poussière et du bruit du marteau-piqueur. » Et les passants ont justement passé leur chemin face aux camions de chantier.

 

Leurs messages adressés à ERDF ou à la mairie sont restés lettre morte et, jusqu'alors, ils n'ont « aucune visibilité ». « Très franchement, cela nous a pénalisés, déjà que ce n'est pas une rue très fréquentée. » 

Agacée, la commerçante a vu son store percé et a eu du mal à accéder aux grilles de sa devanture. Quant au trou, elle le regarde avec angoisse, redoutant l'accident pour ses clients ou pour les noctambules qui fréquentent la rue.

Le sentiment le plus pénible, c'est de travailler dans une artère supposée considérée comme « une sous-rue » par les confrères d'à côté et par la municipalité. « On réclame des bornes escamotables depuis plusieurs mois, mais rien. Et il faudrait peut-être revoir le fleurissement des bacs », regrettent-ils de concert. Bref, ils aimeraient bien trouver leur place dans cet entre-deux inconfortable et sortir, enfin, la tête du fond du trou.

Maryline Rogerie




07/09/2012
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