Limoges Ecrits
Limousin : un rêve, une réalité !
Un court métrage de Carlos Chapman avec Estelle Pesquier trouvée sur le net par hasard " Limousin, un rêve, une réalité "! : un approche originale ! un concours pour France 3 Limousin ...
Un court-métrage artisanal tourné dans le Limousin en juillet 2011. L'idée était de faire quelque chose de très simple, sans prétention, juste une tentative un peu expérimentale et plus ou moins improvisée au fil des découvertes, en même temps que nous passions des petites vacances en amoureux...
On l'a fait à l'occasion d'un concours vidéo organisé par France 3 Limousin "Filmez le Limousin, partez en Australie" : Le lien vers la publication :
ici.france3.fr/limousin/contribution_video/738.
Ce court-métrage a gagner le Grand Prix du concours, à savoir un billet d'avion aller/retour en Australie. Une merveilleuse surprise...
Ses vidéos :
http://www.myspace.com/carloschapman
La journée Urbaine 2012
C'est dommage cette journée a été gachée par un énorme orage le soir !
Pour la 5ème édition, la mairie et Horizons croisés avaient mis le turbo pour proposer des battles Hip Hop l'aprés midi avec mur de tags et des groupes reconnus le soir comme DOctopus, Youssoupha, l'Orchestre National de Barbès et les désormais célèbres Caravan Palace !
Une journée ce n'est pas assez mais c'est un beau "bouton" de futur festival d'été !
La Journée Urbaine - 5ème édition
Au fait il faudra m'expliquer pourquoi à Limoges on s'évertue à organiser la fête nationale le 13 juillet ???
Je ne comprend pas la raison ! et du coup d'année en année on ne sait jamais si c'est bien le 13 !
C'est peut etre une question de jours fériés? le personnel municipal n'est pas payé en jour férié? ou ne veut pas travailler un jour férié???
c'est une énigme :)
l'homme d'un soir
Hier soir, place de la République brillante de neige, glaciale, déserte : un homme marche ...il traverse ...se mouvant avec une extreme lenteur, à tous petits pas, les bras légèrement écartés ..le temps se bride d'un coup...son visage est grave.... il arborre un nez rouge ...dérangeant par sa couleur dans cette blancheur immaculée, dérangeant par son incongruité....incomprehension, surprise....moment particulier d'une scène de rue ...
Souterrains bis
ains de la Règle |
- | Voir ce lieu dans Google Earth |
Le sous sol du vieux Limoges et de certains secteurs périphériques est truffé de galeries, salles voûtées, aqueducs et puits en tous genres. On parle de deuxieme ville.
En effet le sous sol de Limoges est constitué d'une roche appelée "tuf". C'est un granite arénisé, pourri, facilement creusable (la pioche y suffit) mais toujours aussi ferme et stable. Cela va donc grandement favoriser le développement des caves et autres cavités. - ensuite, la surface du château, ou de la cité, à l'intérieur des remparts n'est pas très grande pour une population malgré tout nombreuse(on atteint parfois des concentrations de 600 à 700 personnes à l'hectare !). Les époques d'insécurité successives, ont freiné le développement extra-muros de la ville.
De plus, les techniques de constructions de l'époque ne permettent pas la construction d'édifices à plusieurs étages et se pose alors rapidement un problème crucial de place.
A partir du 10ème siècle les particuliers ont creusé de vastes caves qui communiquaient entre elles. Elles servaient à conserver les aliments et à s'abriter des dangers extérieurs. Les souterrains de la Règle appartenaient à l'Abbaye féminine de La Règle aujourd'hui détruite.
Dès lors, le processus est lancé, les caves s'agrandissent, se modernisent (cavités spécifiques (bacs, fours...), puits, aération, distribution d'eau...), un deuxième voir un troisième niveau apparaissent. Des galeries se creusent, reliant telle cave à telle autre. Les réseaux s'agrandissent au point de former une véritable ville souterraine. Les gens y circulent, y travaillent, y stockent et y vivent même parfois.
Les caves, creusées parfois sur trois niveaux, permettent d'entreposer des marchandises, de développer des ateliers dans les niveaux les plus hauts (voir même des lieux d'habitation !). On trouve également des accès à des puits permettant l'approvisionnement en eau même durant les sièges. Approvisionnement complété par les nombreux aqueducs, dont certains construits dès l'époque romaine et qui alimentent les puits et les diverses fontaines de la ville.
Il y a de nombreuses raisons à la disparition progressive, ou au cloisonnement des réseaux souterrains. - le fait même que les caves soient reliées entre elles va engendrer des problèmes de voisinages. Les vols, les litiges, les visites discrètes à la femme d'un voisin absent. Toutes ses raisons font que de nombreux propriétaires vont murer les accès de leur cave et ainsi couper le réseau. - le temps passe, les techniques évoluent et les besoins aussi. Les construction s'améliorent, gagnent en hauteur mais aussi en poids. Des voûtes trop fragiles s'effondrent provoquant l'affaissement d'immeubles entiers (ex : place des bancs). - les nombreux travaux de voirie, les parkings souterrains, les immeubles modernes avec leurs fondations profondes, toutes ces raisons font que les souterrains de limoges connaissent une destruction systématique et irrémédiable. Ainsi notre époque sonne-t elle le glas de nos souterrains, faisant disparaître du même coup un patrimoine historique et culturel très riche.
Mais peut être ne faut il pas voir tout en noir. Aujourd'hui, des gens prennent conscience de l'importance de sauvegarder et de conserver ce qui reste de ce patrimoine. Des gens les visitent, les cartographient, les répertorient. Maintenant, on trouve des personnes qui les restaurent, les déblaient dans le but de les faire visiter et de permettre ainsi au plus grand nombre de découvrir cet incroyable Limoges souterrain.
Visites guidées: contacter l'Office du Tourisme.
Limoges révélée : trés jolie expo
Le Petit Lemovice s'en est allé à l'exposition " Limoges révélée " à la galerie des Hospices...Un peu surpris par le choix de cette expo car la galerie des Hospices nous a habitué à des thèmes de plus grande envergure!
Je ne voyais pas cela trés grand public et surtout peu touristique, ne pouvant interresser que les limougeauds un peu curieux de leur ville et les amateurs éclairés de photos!
Et c'est bien cela, c'est meme annoncé à l'entrée...mais l'expo est tres interréssante et trés esthétique!
Il y a bien sur les photos de Limoges dont certaines inédites comme celles du Viraclaud aux rues disparues ou des Ponts, les photos du grand incendie qui révèlent l'importance du drame mais il y a aussi des portraits magnifiques, l'histoire de photographes limougeauds ou parisiens qui se sont interréssés à la ville, comme un Burty Haviland !
Oyé Oyé limougeauds, allez donc voir cette expo !
« Limoges révélée, une ville et l’art photographique (1839-1914) »
Du 24 juin au 25 septembre 2011
Galerie des Hospices, 6, rue Louis-Longequeue
Tél : 05 55 45 61 60
Ouvert tous les jours de 10h à 19h sauf le lundi
Entrée : 1€/0,50 € (réduit)
gratuité pour les enfants de moins de 12 ans et les bénéficiaires de minimas sociaux
Expo – Musée : - Limoges révélée, une ville et l'art photographique (1839-1914) - exposition
à Limoges (87) Galerie des Hospices
Jusqu'au dimanche 25 septembre 2011
La photo made in Limoges.
La Galerie des Hospices à Limoges accueille durant les beaux jours une exposition intitulée Limoges révélée, une ville et l'art photographique (1839-1914).
Au XIXe siècle, les Limougeauds se sont très rapidement passionnés pour la photographie, certains s'illustrant même au niveau national et international à l'image de Germeuil-Bonnaud, Paul Burty-Haviland ou encore Jean Jové.
Retrouvez lors de cette exposition un certain nombre de leurs clichés et étudiez les différentes techniques utilisées.
Jusqu'au 25 septembre, à la Galerie des Hospices, une exposition met en perspective l'histoire mêlée de Limoges et des débuts de la photographie, à la charnière entre le XIXème et le XXème siècle.
Vidéo
Avec près de 300 pièces originales, souvent présentées pour la première fois, issues de collections inédites publiques ou privées, cette exposition est l'occasion pour les limougeauds et les limousins de découvrir leur ville, leurs quartiers, leurs paysages tels qu'ils étaient il y a un peu plus d'un siècle.
Mais c'est aussi un évènement pour tous les amateurs ou spécialistes de l'histoire de la photographie. En mettant en perspective le passage de la peinture à la photographie au moment où une ville entrait dans la modernité, cette exposition met l'accent sur les rapports entre l'art et la photographie.
Depuis quelques années, la photographie suscite un engouement croissant chez les historiens de l'art et les collectionneurs.
Avec ses clichés réalisées entre 1839 et 1914, " Limoges révélée " témoigne du rôle de la ville dans l'histoire de la photographie française et de sa place de précurseur dans le reportage photographique de guerre ou dans l'illustration d'évènements comme l'incendie de Limoges en 1864.
Organisée de façon thématique, la présentation suit les grandes étapes de la photographie à Limoges à la fin du XIXème et au début du XXème siècle.
Le temps des pionniers, l'âge d'or du portrait, les photos d'évènements, un premier regard sensible sur Limoges, les paysages de Limoges et de ses environs.
Hippolyte Blancard photographe parisien qui regarde la vie des rues du " ventre de Limoges", les photographies de l'industrie de la porcelaine, la belle époque des premiers photographes amateurs.
Jean Jové, un maître du paysage limousin mais aussi Paul Burty Haviland : l'itinéraire d'un jeune homme entre New York et le Limousin devenu l'un des grands photographes pictorialistes.
Le commissariat de l'exposition et la scénographie ont été confiés à Jean-Marc Ferrer, responsable éditorial des Ardents Éditeurs, assisté d'Étienne Rouziès, responsable du Pôle Limousin et Patrimoine de la Bfm de Limoges.
Le catalogue de l'exposition, "une histoire de la photographie à Limoges 1839-1914" est publié par les Ardents Editeurs.
Plus qu'un catalogue, c'est un livre d'art superbement illustré sur les débuts de l'histoire de la photographie dans la région.
Dans le cadre de l'exposition "Limoges révélée. Une ville et l’art photographique (1839-1914)", organisée par la Ville de Limoges, sous le commissariat général de Jean-Marc Ferrer et d’Etienne Rouziès, commissaire adjoint, j'ai eu la chance de m'occuper de la mise en lumière de cette exposition.
Profitez de cet été pour venir visiter la galerie des Hospices, qui présente près de 300 œuvres originales.
Xavier Durringer et Limoges
Xavier Durringer est le realisateur du film événement de Cannes : LA CONQUETE, sur le parcours de nicolas Sarkosy.
Xavier Durringer a fait ses armes à Limoges qu'il a quitté il y a 7 ans.
Il déclare d'ailleurs que Limoges lui a beaucoup donné et q'elle l'a vu naitre artistiquement.
Il a crée à Limoges la compagnie "la Lézarde" ( rue Francois Chénieux) qui a suivie son créateur à Paris.
Son style trés personnel offrira à Limoges des créations théatrales très riches. Realisateur et metteur en scène, il decouvrira Clovis Cornillard, Karine Viard, Cécile de France...qui se produiront sur les scènes limousines.
Coté cinema, c'est "la nage indienne" aec karine Viard qui le fera connaitre. il tournera meme un clip pour johnny Halliday: " Debout".
Coté téléfilm ce sontt "les vilains" en 1999 pour Arte qui sera tourné en Haute Vienne.
La conquète est sur toutes les lèvres : entre la pression morale qu'il a subi, la polèmique sur le film, l'agacement des politiques et du président qui refuse de le voir, la curiosité sur le jeu des acteurs...remue ménage qui ne doit pas lui déplaire.
Espérons qu'avec le succés annoncé, Durringer n'oubliera pas Limoges comme lieu de tournage!!!
Wikipedia :
Xavier Durringer
Xavier Durringer est un dramaturge et réalisateur français né à Paris le 1er décembre 1963. Il dirige une compagnie de théâtre, La Lézarde, pour laquelle il écrit et met en scène les spectacles. Il est issu de l'école d'acteurs Acting International où il a travaillé entre autres avec Robert Cordier. Il réalise en 2010 La Conquête.
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Œuvres
- 1988 : Une rose sous la peau
- 1989 : La Nuit à l’envers, Éditions Théâtrales
- 1989 : 22.34, Editions Théâtrales
- 1989-1990 : Bal-Trap, Éditions Théâtrales
- 1990-1991 : Une petite entaille, Éditions Théâtrales
- 1991 : Une envie de tuer.., sur le bout de la langue, Éditions Théâtrales
- 1993 : La Quille, Éditions Théâtrales
- 1994 : Quand le père du père de mon père
- 1995 : Polaroid, paru en français sous le titre Chroniques, des jours entiers, des nuits entières, Éditions Théâtrales
- 1998 : Surfeurs, Éditions Théâtrales
- 2001 : La Promise, Éditions Théâtrales
- 2002 : Quoi dire de plus du coq - Chroniques 2, Éditions Théâtrale
- 2003 : Histoires d'Hommes, Éditions Théâtrales
- 2005 : Choco BN, Éditions Théâtrales, in Théâtre en court 1
- 2005 : Petits poissons, Éditions Théâtrales, in Théâtre en court 1
- 2005 : Les Déplacés, mise en scène de l'auteur
Filmographie sélective
- 1993 : La Nage indienne, avec Karin Viard et Gérald Laroche
- 1997 : J'irai au paradis car l'enfer est ici, avec Arnaud Giovaninetti et Claire Keim
- 2001 : Les oreilles sur le dos, avec Béatrice Dalle
- 2005 : Chok-Dee, avec Bernard Giraudeau et Dida Diafat
- 2011 : La Conquête, avec Denis Podalydès
Fiction TV
- 1999 : Les Vilains, avec Florence Thomassin et Gérald Laroche
- 2006 : Lady Bar, avec Eric Savin, Bruno Lopez, Dao Paratee
Metteur en scène
etteur en scène, dramaturge, réalisateur, Xavier Durringer qui a marqué la vie culturelle Limousine, prépare un film sur la précédente élection présidentielle.
Sa compagnie "La Lézarde" a quitté Limoges il y a six ans.
Fer de lance du théâtre en Limousin au début des années quatre-vingt-dix, Xavier Durringer repasse par la case cinéma.
Prochainement il débutera le tournage d'un film relatant la campagne présidentielle de 2007.
Le popu du 27 juillet 2010
Le réalisateur limousin, Xavier Durringer prépare un film sur la présidentielle de 2007 [vidéos]
Selon "Le Nouvel Observateur" Denis Podalydès se glissera dans la peau du candidat de l'UMP. Hippolyte Girardot sera Claude Guéant et Florence Perel Cécilia.
Chargé du théâtre à la Direction régionale des Affaires culturelles, Richard Madjarev a su percevoir les multiples talents de cet auteur et a tout mis en oeuvre pour lui trouver une place en Limousin.
Et c'est dans la cité des ars du feu, que sa compagnie théâtrale "La Lézarde" a élu domicile.
L'ancien élève de l'école Acting International a offert au Limousin ses plus beaux textes. Découvreur de talent, Xavier Durringer a ouvert à Clovis Cornillac, Karine Viard, Cécile de France, les portes de son théâtre.
Et les Limougeauds ont découvert bien avant tout le monde, ces acteurs aujourd'hui célèbres.
Au centre culturel Jean-Gagnant, au Festival de Bellac, au Théâtre de La Passerelle, à l'Union, entre autres, la prose de Durringer présente ces textes vitriolés.
"La quille", "Une envie de tuer sur le bout de la langue", "Polaroïd" séduisent le public.
Créé au Théâtre de l'Union en 1998, avec justement Clovis Cornillac dans le rôle principal, "Surfeurs" est l'une des rares pièces programmée au "in" d'Avignon. Seul Purcarete s'imposera par la suite dans la Cité des papes.
Parallèlement Durringer mène une carrière de cinéaste. Avec "La nage indienne" avec Karine Viard et Gérald Laroche, il obtient le prix Jean Vigo.
Après "J'irai au paradis car l'enfer est ici", réalisé en 1997, il délaisse un peu le théâtre pour mieux se consacrer au septième art.
En 2005, il tourne "Chok-dee" avec Dida Diafat et...Bernard Giraudeau.
L'acteur disparu la semaine dernière joue dans ce film le rôle d'un ancien champion de boxe qui, incarcéré dans une prison, forme un jeune délinquant et lui apprend des sports violents. À sa sortie, le jeune garçon part en Thaïlande et rejoint un camp d'entraînement où il devra montrer sa force pour se faire accepter.
Xaxier Durringer a aussi tourné pour la télévision. Et là encore, il n'a pas oublié le Limousin.
C'est dans le nord de la Haute-Vienne qu'ont été tournés "Les vilains" en 1999. Ce film est régulièrement diffusé sur Arte.
Souvent partagé entre Limoges et Paris, le cinéaste est aussi sollicité par les stars de la chanson.
Pour Bernard Lavilliers il réalise le clip de "Audit" et pour Johnny Hallyday il met en scène "Debout".
Il y a six ans, Xavier Durringer a quitté Limoges.
S'il vit entre Marseille et la Thaïlande, il a installé à Paris sa maison de production "Septième apache" et "La Lézarde".
Son film n'est pas encore tourné mais il excite déjà les appétits.
Vue par Durringer, la présidentielle de 2007 devrait être passionnante, pour ne pas dire décapante.
Les producteurs sont Eric et Nicolas Altmayer.
Via leur société Mandarin Cinéma, ils ont signé les productions de "Brice de Nice", "Oss 117".
Le tournage de ce film insolite est prévu pour la fin de cette année.
année 2011 : La Conquête de Xavier Durringer
Mis en ligne le 12/05/2011 à 11:43 © Daily Motion
La Conquête, de Xavier Durringer, qui relate l'ascension au pouvoir de Nicolas Sarkozy, sera présenté le mercredi 18 mai hors compétition au Festival de Cannes 2011.
Très attendu...
Le film La Conquête, qui retrace l'ascension du candidat Nicolas Sarkozy entre 2003 et 2007, sera accueilli le 18 mai hors compétition au Festival de Cannes 2011.
On retrouve dans cette fiction politique Denis Podalydès, qui incarne Nicolas Sarkozy, Florence Pernel dans le rôle de son ex-épouse Cécilia, Hippolyte Girardot en Claude Guéant, et Samuel Labarthe alias Dominique de Villepin.
Le film a été écrit par Patrick Rotman, grand spécialiste de la fiction politique et réalisé par Xavier Durringer, un passionné de théâtre qui mettra en scène plusieurs pièces avant de se tourner vers la réalisation.
En effet, ce sera avec le drame sentimental La Nage indienne, et le polar dans J'irai au paradis car l'enfer c'est ici que Xavier Durringer assiègera le milieu du cinéma.
Pour l'heure aucun écho de la part de l'Elysée malgré les rumeurs...
Le scénario de La Conquête, qui revisite les dessous de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy entre 2003 et 2007, est une première dans le cinéma car jamais auparavant un long-métrage de fiction n'avait été réalisé sur un Président de la République encore dans l'exercice de ses fonctions.
Le plus dur, selon le réalisateur Xavier Durringer a été de :
"Trouver l’argent pour le faire, sans chaînes, sauf une petite participation de Canal+… Partout on nous disait «l’accession au pouvoir d’un président en exercice, vous n’y pensez pas, ça n’a jamais été fait, du moins en France, on ne peut pas toucher à ça."
Regardez-le résultat de ce qu'il ne fallait surtout pas traiter...
Les vilains par imineo
Louis Blanc silencieux
Un petit moment de bonheur hier soir boulevard Louis Blanc : chant des oiseaux, bruissement du vent dans les feuilles, bribes de conversations....le bonheur! plus de voitures vrombissantes grace aux travaux ...que c'est bien une ville sans voitures........!
Salopettes made In Limoges
J'ai deja concocté un article sur ces salopettes fabriquées à Limoges par Michel Rabret ...mais jen rajoute un petit coup car le succés est grandissant!
crée en 2008 la societé a dépassé en 2010 les 60 000 connections internet!
Fabriquées aux Etats unis, en velours, en jeans ou en lin, les salopettes arborent un logo dessiné par ses soins : un triangle jaune avec un engrenage!
C'est valerie Damidot de l'émission "D & Co" sur M6 qui les decouvrent sur internet! du coup la marque decolle ...Antoine de Caunes en commande aussi pour un film sur Coluche...la société devient l'un des deux plus grand distributeur de salopettes en Europe !!!
Son entrepot est otujours chez lui et Michel Rabret a gardé son emploi precedent! La solopette est a la mode et il compte bien en profiter en trouvant un fabricant dans lla region et en ouvrant une boutique à Limoges!
Site à cliquer :
On voit le petit triangle sur son flanc :=)
Nolwenn aussi :=)
Tour de ville suite
Mon quotidien favori à donné des précisions quand a l'installation d'enseignes en zone nord a l'emplacement de Monsieur Bricolage : Kiabi ouvrira en mai avec 2000 m2; suivi par lidl en juin et Intersport en aout qui quitte donc la place de la République ( de 800 il passe à 2300 m2). Puis StockOmani si'nstallera en fin d'année suivi de Léon de Bruxelles (qui donc ne sera pas à Ester, desolé !!!) et KFC. 120 personnes travaillerons sur ce site qui verra sa géographie transformée par l'agrandissement du rond point, la réhabilitation de la rue Frédéric Bastiat qui serai prolongée vers la route d'Ambazac.
Une rumeur toute fraiche :Auchan guignerai sur le Family Village.
c'est une enseigne nouvelle sur Limoges: un hard discount pour la maison!
Decouverte place de la Motte!!!
Faisant la queue au distributeur de billets de la place de la Motte...j'observais un bonhomme qui regardait avec attention sans bouger d'un pouce une porte orange à coté ...devant son très grand moment d'immobilité et sa concentration je m'approche subrepticement et la je découvre que sur cette porte orange de la banque verte bien connue est écris sur toute sa surface l'histoire circonstanciée du quartier!!! épaté!
Comme quoi on peut passer des centaines de fois dans un lieu sans en percevoir tous ses trésors :=)
On ne peut pas lire...c'est volontaire ! allez voir!!!!
Limoges un samedi d'automne
j'ai pris des photos mais mon ordi refuse de les afficher grrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
magazine de destination
L'office de tourisme de Limoges a édité un magazine de destination! kesako ?:
c'est un catalogue qui présente les différents atouts de la ville : tourisme, économie, patrimoine, transports etc...avec de jolies photos !
De nombreuses villes se sont pliees a cette "mode" du document d'appel !
Alors que penser de cette plaquette? elle est plutot reussie : le titre "offrez vous du Limoges" est agréable à l'oreille et même si le jeu de mot est facile, de nombreuses villes exploite ce filon "humoristique".
Jolies couleurs, de nombreuses photos mais trop de d'images de familles "heureuses" style manequins posant ( on se croirait aux 3 suisses) qui n'apportent aucune information et qui est limite agaçant !
Pourquoi ne pas avoir fait des mini portraits de gens très limougeauds comme le peintre des rues ou la dame qui fait les galetous aux Halles ou un designer en émaux?
La porcelaine contemporaine est bien mise en valeur! Il y a un intéressant article sur l'ambassadeur du limousin sur la cote d'azur, le chef Jacques Chibois, des carrés nommés "insolite" sur les souterrains ou la vierge en émail de la cathédrale, des chapitres bien différenciés!
bref cela donne une image plutôt énergique de la ville ! donc c'est plutôt réussi excepté une chose trois fois le mot "discrète" apparait
- Discrète et élégante, calme et bouillonnante : Limoges s'offre a vous!
-Limoges la discrète se dévoile
- Ici discret, la exubérant (parlant du patrimoine)
Discrétion : ce mot pour moi est négatif cela veut dire ennuyeuse, timide, pale, sans caractère...il aurai mieux valu dire modeste car la cela voulait dire qu'elle cachait des trésors ....Pourquoi toujours se coté prudent jusque dans une plaquette censé "vendre" la ville ????
Dernière chose : le plan d'accès avec encore la ligne aérienne pour Charleroi stoppée depuis plus d'un an, et seulement quatre lignes vers l'Angleterre (10 actuellement) ca fait pas sérieux!
Office de Tourisme de la Ville de Limoges
Trouvailles archéologiques
Le site se situe juste après la prison en allant vers la Mauvendiere derrière une jolie maison : la maison " Faure" qui recèle un joli vitrail de Francis Chigot.
Il n'est pas surprenant que le site soit intéressant au niveau archéologique puisque les arènes étaient tout prés...
Ce projet de cité judiciaire, que Limoges attends depuis des décennies à été décidé en même temps que le transfert de la prison ( un site militaire de Couzeix serai retenu contre l'avis du maire).
Que deviendra la prison? n'aurait on pas pu y créer justement la cité judiciaire?
En tous les cas, cette découverte importante pour l'histoire de la ville a aussi le mérite de braquer un coup de projecteur sur le passé gallo romain de ce quartier et donc peut être du monument phare :l' amphithéâtre... et de rêver que des projets de dégagement des parties enterrées soient étudiées..bien que notre maire est déclaré il y a quelques années que cela serai pour les générations futures (sic) ...
Maquette du musée des Beaux Arts
En 2010, peu de vestiges gallo-romains sont encore visibles à Limoges. L'amphithéâtre (fin du Ier siècle) est enfoui sous le jardin d’Orsay. Le théâtre est situé en bord de Vienne, sous le quai Saint-Martial et la place Sainte-Félicité. Les thermes (IIe siècle), enfouis sous la place des Jacobins ont été détruits dans leur quasi-intégralité lors du creusement d'un parc de stationnement. Les « nouveaux thermes » (Bas-Empire) sous situés sous les jardins de l'évêché. Le forum » (100 mètres de large pour plus de 300 de long, placé au centre de la cité) est localisé sous l’actuelle place de l’Hôtel de Ville.
Sous le futur tribunal de Limoges... des sépultures gallo-romaine
Cette semaine, un archéologue de l'Inrap (Institut national de recherche archéologique préventive) vient de réaliser une découverte historique sans précédent pour Limoges.
A l'occasion de fouilles conduites sur le site de la future cité judiciaire, rue de la Mauvendière, huit tombes gallo-romaines ont été découvertes.
Comme l'ont révélé nos confrères de France Bleu Limousin, huit fosses, dans lesquelles se trouvaient des urnes en céramique contenant des os calcinés de défunts viennent donc d'être mises au jour.
« Les vases étaient entiers, ce qui est très rare. Nous pensons que ces fosses ont été creusées entre le Ier et le IIIe siècles de notre ère », indique Christophe Maniquet, archéologue et auteur de la découverte.
« C'est à l'occasion d'un diagnostic immobilier sur le site que nous sommes tombés dessus. On savait que dans le secteur, il y avait des tombes. En 1994, à proximité, des fouilles avaient révélé ce type de structures mais le sol était pollué. Nous n'étions pas allés plus loin. »
Enthousiaste, l'archéologue explique que cette découverte n'est peut-être « pas exceptionnelle pour une ville antique, mais elle l'est pour Limoges ».
« Nous aurons le temps d'effectuer des fouilles »
« Ça nous conforte sur beaucoup de points : comment la cité était organisée
par exemple. Ici, nous sommes à proximité de l'amphithéâtre qui se trouvait à
l'emplacement de l'actuel Jardin d'Orsay.
A l'époque gallo-romaine, les tombes étaient installées le long des routes en périphérie des villes. Ce qui est le cas car nous sommes à côté d'une voie romaine, qui correspond à peu de chose près à la rue de la Mauvendière. Et la ville s'arrêtait au niveau de la place d'Aine. »
La découverte a été immédiatement protégée et n'est donc plus visible
aujourd'hui. Quant à savoir si les travaux de la future cité judiciaire vont
être retardés, l'archéologue répond par la négative.
« Pour une fois, ils s'y sont pris largement en avance pour demander un diagnostic. Nous aurons le temps d'effectuer des fouilles. »
Franck Lagier
AUGUSTE : le fondateur d'Auguqtoritum
Le 16 janvier de l'an 27 avant JC, le Sénat romain décerne à Octave le surnom d'Augustus (Auguste) habituellement réservé aux divinités.
Ce titre honorifique désigne celui qui agit sous de bons auspices. Il récompense le petit-neveu et fils adoptif de Jules César pour avoir restauré les formes de la République sénatoriale et pacifié le pays en mettant fin aux guerres civiles qui l'ensanglantaient depuis un siècle.
Trois jours auparavant, Octave avait habilement démissionné de toutes ses fonctions et le Sénat, désemparé, l'avait supplié de revenir !
Né 36 ans plus tôt, Octave (qui a pris le nom d'Octavien après son adoption par César) possède désormais un pouvoir quasiment absolu grâce au cumul à vie des plus hautes fonctions de la République.
Avec César et Auguste, la République romaine se transforme en quelques années en principat (avec un homme tout-puissant à sa tête) sans que ses structures traditionnelles aient été en apparence modifiées ! C'est un «empire» qui ne dit pas son nom.
De son père adoptif, Octave a hérité les noms de César et ImperatorImperator désignait d'ordinaire un général investi de l'imperium). (le titre d'
Il se voit aussi réattribuer tous les ans le titre de consul qu'il partage à chaque fois avec un quelconque notable. À partir de l'an 28 avant JC, il est officiellement considéré comme Princeps senatus ou premier sénateur (d'où nous avons tiré le mot prince)...
En 23 avant JC, à la suite d'une grave maladie, Auguste se fait attribuer la puissance tribunicienne à vie qui lui garantit l'inviolabilité. Enfin, à la mort de Lépide, en 13 avant JC, il est élu grand Pontife et devient à ce titre le chef de la religion. On l'honore sur les autels.
Le nouvel homme fort de Rome n'est bientôt plus désigné que sous l'appellation Imperator Cesar Augustus.
Il professionnalise l'armée avec des volontaires engagés pour vingt ans qui reçoivent en fin de carrière un lopin de terre et un pécule. Mais il se contente de quelques guerres pour consolider les frontières.
Les souterrains dans les échos
Trouvé dans "LES ECHOS" du lundi 23 aout 2010: Le journal ecrit un tour de France des souterrains insolites.
Cette semaine Limoges est à l'honneur avec les souterrains de la Règle.
L'article signale le réseau modeste de la partie visitable et cela est excact , c'est un peu décevant pour le touriste!...la mairie serait sur le point de signer avec le bar l'Irlandais pour l'achat deu réseau dit "Reis Rei' du nom de l'ancienne galerie d'art d'ou l'on pouvait accéder à un reseau assez vaste qui courrait sous la place HAute Cité.
Assez labyrinttique avec une salle a chapiteau, l'ensemble ne manque pas d'interet...fut un temps un groupe de musicos y repetait! En tous les cas cet achat viendrait etoffer la visite...on parle aussi de la recuperation des caves des compagnons du Tour de France et de 'ouverture du souterrain de l'Evecaud remis à jour lors su chantier du musée des Beaux-Arts.
Panoramiques:
Le sous-sol de Limoges livre petit à petit ses secrets
[ 12/08/10 - 18H40 - Les Echos - actualisé à 11:41:52 ]
La capitale limousine cache sous son sol qui s'étend sur un, deux, voire trois niveaux, une autre ville, creusée au gré des guerres et des aléas de l'Histoire. La municipalité projette d'agrandir la partie à visiter, ses souterrains devenant une attraction touristique majeure.
DE NOTRE CORRESPONDANT À LIMOGES, JEAN-PIERRE GOURVEST
Entre caves, galeries, aqueducs, cryptes, passages divers et réserves secrètes, la cité des arts du feu est en quelque sorte dupliquée sous quelques mètres de terre. Pas une rue, pas une maison, pas une place ou un monument qui ne possède son double souterrain auréolé de mystères et de légendes. A l'origine, à l'époque post-médiévale, il s'agissait de gagner de l'espace sous les constructions étroites composant les deux agglomérations limougeaudes d'alors, la Cité et le Château. Au fil des ans, entre lieux de culte, greniers à grains, galeries de liaison, citernes, l'ensemble s'est étoffé, se complétant de puits, de salles, d'égouts, creusés dans un tuf granitique à la fois tendre et solide, avec cheminées d'aération et passages plus ou moins secrets. Les guerres, qu'elles soient de religion, civiles, locales ou mondiales, les événements sociaux, culturels, maçonniques ont souvent constitué des avatars supplémentaires générant l'utilisation et l'extension de ce qui devenait lentement un véritable réseau souterrain.
En 1520, un drame rapporté par les historiens laisse imaginer l'importance de ces labyrinthes. Cette année-là, une servante d'un notable de la rue de la Cité, s'aventurant dans les sous-sols pour aller chercher du vin en cave, n'en est jamais ressortie vivante. Perdue, errant durant trois jours dans l'obscurité, la malheureuse est devenue folle en se croyant aux Enfers après avoir fait irruption dans le fournil brûlant d'un boulanger. On a retrouvé ensuite son cadavre, cheveux blanchis, visage décharné, à l'entrée du souterrain de la Règle, qui se visite d'ailleurs de nos jours. « C'est le seul mort connu, précise Laurent Girard, de l'office du tourisme. Depuis, on a toujours retrouvé les égarés, mais on ne sait jamais… »
Impossible état des lieux
Toute cette structure cachée, parfois occulte, connue dans certaines de ses parties par les seuls initiés, a suscité curiosités et recherches, tentant les chercheurs de tous poils, amateurs de sensations fortes, aventuriers spéléologues, historiens. Si des associations - comme la très active Archea -se sont formées, se consacrant officiellement à la découverte et à l'exploration, ainsi qu'à des relevés topographiques, beaucoup de particuliers se promènent actuellement dans ce sous-sol mystérieux. Un sous-sol dont il est par ailleurs impossible de dresser un état exhaustif, les domaines privés et public s'imbriquant en permanence sur un, deux, voire trois niveaux. Ces curieux y recherchent des sensations fortes, des vestiges, des trésors très hypothétiques, mais aussi le souffle d'une histoire et d'un passé agités.
La ville de Limoges a très rapidement perçu les avantages qu'elle pouvait tirer de ces souterrains et de leur attrait pour le tourisme local. 20.000 euros sont attribués annuellement, depuis 1997, à l'établissement de cartes et de nouveaux relevés. Car cavités ou conduits nouveaux apparaissent à chaque nouveau chantier de voirie ou d'urbanisme effectués. La modeste partie qui se visite depuis 1993 permet d'entrevoir les résultats de l'opération plus ambitieuse en cours : plus de 3.000 visiteurs payants sont passés sur le site durant les deux mois de l'été 2009, contre à peine 300 en 1993. « Les souterrains sont devenus une valeur sûre du tourisme, estime Bernard Vareille, adjoint au maire chargé de l'urbanisme. Ce qui nous incite à tripler d'ici à 2011 l'espace accessible. » Récemment classée « Ville d'art et d'histoire », Limoges souhaite proposer un ensemble cohérent et attractif de son passé, dans lequel son sous-sol serait une composante non négligeable.
Gainsbourg à Limoges
On le sait peu mais Serge Gainsbourg ou plutot lucien Ginzburg né le 2 avril 1922 à Paris à vécu en Limousin.
Joseph Ginzburg, le père décide d'installer sa famille à Limoges en 1943 face au danger que représente la vie à Paris pour une famille juive.
Pourquoi Limoges? car son père, pianiste de talent rencontre Pierre Guyot, violoniste et chef d'orchestre réputé à limoges dans un établissement parisien ou les deux artistes se produisent. Joseph demande de l'aide à Guyot qui leur trouve un logement au 13 de la rue des Combes (aujourd'hui au 11) appartenant à Philippe Nadaud débitant de liqueur de la cité. Guyot obtient pour les deux sœurs de Lucien la protection des religieuses du Sacré Cœur qui donnent aux deux sœurs la clef du jardin pour s'enfuir en cas de rafle.
Lucien passe son adolescence dans le quartier pendant que son père et Pierre Guyot crée un orchestre nommé " Jo Donde".
L'insécurité grandit et Lucien est envoyé a Saint Léonard ou il est scolarisé sous le nom francisé de Guimbard. Ses parents se réfugient vers à St Cyr vers Cognac la Foret
L'élève Guimbard se déplait fortement à St léo avec des élèves qu'ils trouve "ploucs" et "péquenots". seul son proviseur trouve grâce à ses yeux!
Les Ginzburg était encore à Saint Cyr quand le massacre d'Oradour eu lieu à 20 km .
Au début des années soixante, Pierre Guyot rencontre Gainsbourg au casino de Royan...le chanteur devant tous les souvenirs rappelés par Guyot reste distant, presque méprisant et Pierre Guyot en fut profondément affecté!
Nous en savons plus sur cette réaction : il se trouve que son confident, secrétaire et chauffeur Alann Parouty est né à limoges et avant de mourir toujours à Limoges en 2000, a rédigé quelques notes qui viennent d'etre publiées " Serge, mon patron".
Alann Parouty révèle qu'ils eurent de longues conversations sur cette période limousine et que même si il n'en a pas gardé un bon souvenir, ce séjour forcé l'a marqué à vie!
Sur l'épisode royannais, son biographe Gilles Verlant donne une explication : " Serge à longtemps fait l'impasse sur ces années limousines. Il n'a commencé à en parler qu'au début des années quatre-vingts. Et la, il s'est lâché! il est indéniable que c'est en Limousin que c'est dessiné le personnage de Gainsbourg!
Alann parouty décris l'homme comme un homme sensible, fragile, aimant mais angoissé, aux idées noires.
coïncidence : Chopin était le compositeur préféré de Gainsbourg jusqu'a lui emprunter plusieurs thèmes et c'est à Saint Cyr ou c'est réfugié ses parents que Chopin et George Sand ont séjourné quelques temps chez l'oncle de Sand : monsieur Dupin.
"Serge,mon patron": éditions Pascal.