Le Petit Lemovice

Pierre Delage, Jean Pierre Limousin, Stalindrad et Charles Michels

Pierre Delage : Décès de Pierre Delage à l'age canonique de 96 ans ! Mais qui est il ce monsieur vous direz vous ? c'etait un grand  amoureux de Limoges,ancien professeur de lettre à Gay Lu et historien de la ville, il a ecrit de nombraux livres qui avaient des thèmes tres precis, extremement bien documentés et jamais ennuyeux !

Son plus célèbre, qui avait causé un petit émoi amusé en ville :" Trottoirs et maison close" que je vous conseille vivement traitant de l'histoire de la prostitution à Limoges qui n'a pas attendue les reportages de M6 ou Tf1 pour se distinguer à ce sujet ! Le quartier Viraclaud en lieu et place de la Préfecture et de la Poste était célèbre dans toute la France! Il a écris sur le quartier Montjovis, le miracle des Ardents, l'école de la Monnaie et son dernier le lycée Gay Lussac !

Voila j'avais envie de lui rendre tres modestement hommage .

 

y a 2000 ans, les belles de jour

Auteur de “Trottoir et maisons closes”, Pierre Delage sur les traces des belles de nuit et de jour. L’historien limougeaud montre, rue Prépapaud, devenue rue Charles-Baudelaire, “Le Point d’Interrogation”, une des plus importantes maisons closes de Limoges. Cette photo a été prise en 1997. PHOTO D'ARCHIVES
Auteur de “Trottoir et maisons closes”, Pierre Delage sur les traces des belles de nuit et de jour. L’historien limougeaud montre, rue Prépapaud, devenue rue Charles-Baudelaire, “Le Point d’Interrogation”, une des plus importantes maisons closes de Limoges. Cette photo a été prise en 1997.© PHOTO D'ARCHIVES
Cette histoire nous parle de Limoges il y a plus de deux millénaires. La cité des Lémovices avait déjà ses maisons closes. Internet se fera attendre !
Une partie du passé s'est effondré en plein centre de Limoges du côté de la rue Baudelaire, baptisée autrefois rue Prépapaud. Aujourd'hui, ces dames évoluent qu'il neige ou qu'il vente du côté du champ de Juillet, ou alors elles tapinent dans de discrets studios.

Alors, adieu les maisons de tolérance et autres clandés de l'après-guerre. Cette première page d'un dossier consacré à la prostitution limougeaude nous ouvre des horizons que les moins de vingt ans...

MOTS D'AMOURDANS UNE VILLA

Pour mieux connaître ce que fut le plus vieux métier du monde à Limoges, la lecture du livre Trottoir et maisons closes à Limoges s'impose. Sous la plume de Pierre Delage, nous voici plongés dans le site d'Augustoritum au IIIe siècle. Paru en 1997, l'ouvrage emmène le lecteur vers l'actuel quartier de l'hôtel de ville. « On a retrouvé, dit Pierre Delage, des mots inscrits sur un pan de mur d'une villa gallo-romaine. Un certain Quintus écrit : Moi, Quintus, le jour des nones de mars, ici j'ai fait l'amour toute une nuit Juste à côté, on avait écrit un peu plus de deux cents ans après Jésus Christ : Sans me cacher, Iris ma chérie, si tu veux, je te ferai d'autres choses »

LABUSSIÈRE CHASSELES PROSTITUÉES

Au rendez-vous de l'histoire en dentelles, il y a bien sûr la Renaissance et ses vagabondes limousines. Et au XVIIe, les consuls de Limoges tirent la sonnette d'alarme. Face à la prolifération des maladies vénériennes et du mal napolitain (la syphilis), on décide de regrouper les prostituées dans un ancien hôpital situé près de l'actuelle l'avenue Baudin.

Puis vient le XIXe avec ses maisons de tolérance et ses filles soumises. Après la guerre de 1870, les régiments s'implantent et attirent 5.000 jeunes. Beaucoup ont besoin de rencontres.

Avec Emile Labussière, maire de Limoges, le dossier prostitution est plus que chaud. Le premier élu de Limoges décide de rayer de la carte Le Viraclaud. On est en 1898. Le maire tire un trait sur 22 maisons closes qui abritaient entre 90 et 180 filles.

En cette fin du XIXe, Emile Labussière n'y va pas de main morte pour chasser les prostituées. La rue de La Chadre est particulièrement ciblée. Sur le site actuel de la rue Daniel-Lamazière et de la préfecture, les belles de jour et de nuit vivent dans un décor à la Zola.

En fait, Emile Labussière ne fait que déplacer le problème. Dès la fin de la Première Guerre mondiale, les pt'ites femmes de Limoges se mettent à faire commerce de leurs charmes entre le bas du champ de Juillet et la place Maison-Dieu.

1930 : LA BELLE ÉPOQUE

La roue tourne. Au cours des années 30, les tenancières de bordels font fortune rue Prépapaud tandis que les maisons de la rue Cervières, près de la place Fontaine-des-Barres, de la rue des Sapeurs ou de la rue du Général-du-Bessol voient la rue en rose.

En 1946, Marthe Richard s'insurge : une loi va interdire toutes les maisons de tolérance Entre l'État et les tauliers, la guerre est ouverte. Les maisons de charme n'ont pas dit leur dernier mot.
 
Jean Pierre Limousin : le président de la Chambre de Commerce a répondu à un interview dans le Popu de ce mercredi! Le titre : Nous priver de Tgv serait une injure"  bon cela ne peux que me plaire, moi pro TGV inconditionnel lol Il est optimiste dit il ...bon ...il doit en savoir plus que nous!
D'autres sujets comme la non exploitation de l'A 20 économiquement qui est pourtant un axe majeur.
Par contre il affirme que le désenclavement routier est fait malgré les points noirs de la route de Perigueux et Poitiers..qui sont pourtant primordiaux ! Les habitiants de ces deux villes iraient plus volontiers a Limoges avec une quatre voie alors qu'ils se tournent pour le shopping notamment vers Bordeaux et Tours
Quelques mots sur l'aéroport ou Milan et Barcelone sont citées..bien mais si Roissy n'a pas marché je doute que ces deux futures lignes soient viables..mais il faut essayer pour le savoir!
Il rale contre le président de la Sncf (et j'adhere ) qui nous refile des vielles voitures Tgv reciclées pour la ligne Paris Brive Toulouse au lieu de nouveaux trains qui vont sortir en 2013.
Et pour finir sur l'ouverture des magasins le dimanche en fin d'année...encore un seul dimanche de decembre d'ouvert alors que la plupart des villes ouvrent deux dimanches ...c'est un vrai manque de dynamisme commercial ! que le reste de l'année les dimanche soient féries c'est socialement conprehensible  mais a noel c'est incomprehensible !
Stalingrad et Charles Michels : non non ne cherchez pas... rien en commun mais un coup de gueule : Quand va t on débaptiser ce square ? oui oui ce fut une grande bataille avec de nombreux morts et une vraie defaite des forces nazies...mais cela evoque plus maintenant le personnage de Staline qui fut loin d'etre un ange...et puis i il est sympa ce square...trouvons lui un nom plus "pacifique"!
Autre endroit de non agression...automobile  : la rue Charles Michels ! depuis le debut des travaux quel calme en journée...et cela n'a pas l'air d'avoir grandement perturbée la circulation en ville ...alors on la laisse pietonne toute l'année et pas qu'en periode estivale  ?
 


23/10/2012
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