Le Petit Lemovice

Projet de musée de la Chaussure

Article dans le populaire:

 
L’association Renaissance du Vieux Limoges (RVL) veut développer un projet mettant en avant le patrimoine local. Celui-ci concernerait la création, près de l’Evêché, d’un musée de la chaussure. Dans les années 30, la région comptait 8 000 ouvriers qui fabriquaient 13 500 paires quotidiennement. La ville fournissait les grands magasins de Paris ainsi que les détaillants sur toute la France.

 

l'idée est séduisante ! ll est vrai que ce patrimoine industriel a été un peu oublié de l'histoire locale...pourtant chez les personnes agées il est encore trés présent.

 

Les chaussures héyraud sont peut etre les plus célèbres : l'usine etait à la place du centre Commercial Saint Martial et avait remplacé les usines Haviland ...c'est donc un lieu emblémentique de la ville.

 

Mais d'autres usines etaient tres importantes comme l'usine Monteux qui employait 2000 ouvriers et dont le siege etait rue de Châteauroux (l'histoire de cette famille est evoquée dans le film "ceux qui m'aiment prendront le train de Patrice Chéraux, Trintignant joue un bourgois limougeaud et industriel de la chaussure : la famille Rechenbach qui vivait au château du Mauzelet qui est maintenant encerclé  en pleine zone industrielle nord ).

 

Weston est quasiment la derniere presence de ctte industrie limougeaude....selon la photo, l'association aimerait certainement l'installer dans le musée de la résistance qui va démenager en Aout. C'est judicieux car pres du BAL et du musée des Compagnons!

 

L'eccueil à eviter est dans faire un simple "presentoir" de chaussures et materiels car ce genre de musée n'attire plus les foules mais peut etre trouver des vieux films, creer des animations (confection d'une chaussure par un retraité Weston par exemple), prets et echanges d'autres musées comme celui de Romans dans l'Isere, Sponsors (Weston) ...

 

A suivre donc, cela serait un pole touristique de plus dans ce quartier!


 

 

Ci dessous des documents passionnants sur les differentes usines de chaussures à Limoges!!!

 

 

Usine de chaussures Heyraud, puis Lalet, actuellement immeuble à logements

usine de chaussures Heyraud, puis Lalet, actuellement immeuble à  logements
usine de chaussures Heyraud, puis Lalet, actuellement immeuble à logements
Histoire : Alfred Heyraud implante en 1915 son usine de chaussures dans ces ateliers, propriété des frères Raphanaud. Entrepreneurs en bâtiment, ces derniers ont probablement fait appel aux architectes Ménissier et Rocher, maîtres d'oeuvre d'une autre usine de chaussures appartenant aux frères Raphanaud mais exploitée par Gaston Monteux, rue de Châteauroux (dossier IA87000236). La société Heyraud s'est hissée avant même la fin de la Première Guerre mondiale au deuxième rang des usines de chaussures de Limoges, derrière celle de Gaston Monteux. Dans les années 1920 Alfred Heyraud occupe plusieurs autres ateliers annexes dans la ville de Limoges, tandis que le siège social de l'entreprise est implanté cours Gay-Lussac. Au début des années 1930 il se porte acquéreur de l'ancienne usine de porcelaine Haviland, avenue Garibaldi, où il va progressivement concentrer ses installations. Au début des années 1940 les locaux de la rue Hoche sont repris par un autre industriel de la chaussure, Raoul Lalet, spécialisé dans la fabrication de pantoufles depuis 10 ans, avenue Garibaldi (IA87000234). Une habitation est édifiée en 1950, puis une extension des ateliers au-dessus du porche d'entrée en 1951. Les Etablissements Lalet quittent le site en 1995, pour s'implanter dans la zone industrielle nord de Limoges. Les ateliers sont alors reconvertis en logements (Résidence Les Iris).L'usine Heyraud emploie 777 ouvriers en avril 1920 (dont 387 femmes), 660 en décembre de la même année, 600 en 1926. Lalet emploie 55 ouvriers en 1950, 190 à 240 dans les années 1960.
Adresse : 8 bis, 16 rue Hoche

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1er quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle
Année de construction : 1915 ; 1919 ; 1950 ; 1951
Auteur(s) : Ménissier G. (architecte)Rocher (architecte)

Usine de chaussures La Conciliation, puis imprimerie Bontemps, actuellement immeuble à logements

usine de chaussures La Conciliation, puis imprimerie Bontemps,  actuellement immeuble à logements
usine de chaussures La Conciliation, puis imprimerie Bontemps, actuellement immeuble à logements
Histoire : En 1919 la Société Anonyme des Ouvriers Galochiers fait édifier cette usine de chaussures, spécialisée dans la fabrication de galoches et exploitée sous la raison sociale La Conciliation. En 1932 les bâtiments sont acquis par Adrien Bontemps qui y implante une imprimerie. Une extension des ateliers est réalisée en 1956 par l'architecte André Campagne. Vers 1994-1995 l'imprimerie Bontemps est remplacée par un commerce de quincaillerie, pour quelques années seulement. Un projet de réhabilitation en logement est en cours.L'usine de chaussures emploie 60 ouvriers en 1925. L'imprimerie en emploie 50 en 1935, 100 en 1956, 190 dans les années 1970.
Adresse : rue Legouvé

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1er quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle
Année de construction : 1919 ; 1956
Auteur(s) : Campagne André (architecte)

Usine de chaussures Lalet, actuellement magasin de commerce, logement et immeuble de bureaux

usine de chaussures Lalet, actuellement magasin de commerce,  logement et immeuble de bureaux
usine de chaussures Lalet, actuellement magasin de commerce, logement et immeuble de bureaux
Histoire : Louis Lalet, fabricant de tiges de chaussures à Limoges depuis 1904, implanté rue de la Fonderie puis 46 avenue Garibaldi, fait édifier cette nouvelle usine en 1922. Son successeur depuis 1927 environ, Raoul Lalet, réoriente progressivement la production à partir de 1931 vers l'industrie naissante de la pantoufle à Limoges. Il développe la mécanisation de ses ateliers, pour faire face aux graves difficultés de l'industrie de la chaussure traditionnelle. L'entreprise connaît alors de nouveaux développements, et édifie de nouveaux ateliers dès 1932, sur les plans de l'architecte Mandon-Joly. Vers 1941, Raoul Lalet quitte ce site pour reprendre les anciens ateliers Heyraud, rue Hoche (dossier IA87000238). Les locaux sont alors repris par un commerce d'équipements électriques. Ils sont aujourd'hui occupés par des logements, des bureaux et un atelier et magasin de commerce de peinture pour le bâtiment.En 1926, l'usine, alors sans doute au plus faible de son effectif, n'emploie qu'une dizaine d'ouvriers, chiffre qui progressera fortement après le déplacement des ateliers rue Hoche (50 en 1950, 200 dans les années 1960).
Adresse : 60 ter avenue Garibaldi

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1ère moitié 20e siècle
Année de construction : 1922 ; 1932
Auteur(s) : Mandon-Joly (architecte)

Usine de chaussures Lenoir et Prat, actuellement magasin de commerce

usine de chaussures Lenoir et Prat, actuellement magasin de  commerce
usine de chaussures Lenoir et Prat, actuellement magasin de commerce
Histoire : Cette usine de chaussures, spécialisée dans la fabrication de tiges, est construite en 1923. Le logement patronal voisin, édifié par l'architecte Chabrefy lui est contemporain. L'entreprise est dirigée par Lenoir et Prat, puis Prat seul à partir de 1933 environ. L'usine est reprise par Mayeras (marque Callista) vers 1960, et disparaît quelques années après. L'atelier de fabrication était occupé par un magasin d'électroménager jusqu'en octobre 2002. Il est aujourd'hui sans affectation.L'usine emploie 25 ouvriers en 1925.
Adresse : 11, 13 avenue Emile-Labussière

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1er quart 20e siècle
Année de construction : 1923
Auteur(s) : Chabrefy (architecte)

Usine de chaussures Magadoux et Demaison, puis usine liée au travail du bois (usine de formes de chaussures) appelée Manufacture de Formes du Centre puis L. Riffard et Cie, actuellement temple des Tém

usine de chaussures Magadoux et Demaison, puis usine liée au  travail du bois (usine de formes de chaussures) appelée Manufacture de  Formes du Centre puis L. Riffard et Cie, actuellement temple des Tém
usine de chaussures Magadoux et Demaison, puis usine liée au travail du bois (usine de formes de chaussures) appelée Manufacture de Formes du Centre puis L. Riffard et Cie, actuellement temple des Tém
Histoire : Magadoux et Demaison créent vers 1925 sur ce site une usine de chaussures et de pantoufles dans des ateliers aujourd'hui disparus. Ces industriels dirigeaient depuis 1920 un atelier situé rue Devérinne. Ils semblent cesser leur activité vers 1934. L'atelier subsistant date du début des années 1930. En 1935, Ludovic Pabiot, industriel spécialisé dans la fabrication de formes en bois pour chaussures, y installe son entreprise, la Manufacture de Formes du Centre, suite à l'incendie de ses ateliers rue de Belfort. Pabiot dispose aussi d'une annexe dans l'avenue Montjovis voisine (n° 27, détruit). Dans les années 1960 le site est repris et agrandi par les Etablissements L. Riffard et Compagnie, qui poursuivent le même type de production. M. Riffard était probablement l'ancien directeur de l'usine de formes Brun et Buisson installée en 1924 rue Bobillot. Le bâtiment abrite aujourd'hui le temple des Témoins de Jéhovah.L'atelier de formes de chaussures est doté en 1935 de six machines-outils (quatre tours à reproduire, une scie, une machine à creuser) animées par un moteur électrique de 9 ch.Magadoux et Demaison emploient une trentaine d'ouvriers en 1926, l'usine de formes 15 ouvriers en 1950.
Adresse : 6 rue Ferdinand-Lassalle

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 2e quart 20e siècle
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu

Usine de chaussures Pariset et Vacquand puis Dutour, puis usine de confection Breuil et Cie, actuellement magasin de commerce

usine de chaussures Pariset et Vacquand puis Dutour, puis usine de  confection Breuil et Cie, actuellement magasin de commerce
usine de chaussures Pariset et Vacquand puis Dutour, puis usine de confection Breuil et Cie, actuellement magasin de commerce
Histoire : En 1902 Jean-Baptiste Pariset construit à l'arrière d'un immeuble d'habitation acquis en 1887 une usine de chaussures, qu'il exploite en association avec Jules Vacquand sous la raison sociale Pariset Aîné et Vacquand, jusqu'en 1908. En 1909 l'usine est reprise par Dutour fils, tandis que Vacquand part s'installer faubourg d'Angoulême. La maison Dutour est alors une des plus anciennes fabriques de chaussures de Limoges, fondée en 1852 place Fontaine-Saint-Michel. Vers 1920 lui succède la société Hayon et Cie, qui cède la place de nouveau à Dutour Fils en 1929, lors du départ de Hayon et Cie rue Emile-Zola. Fermée depuis 1932 environ, l'usine de chaussures est convertie en usine de confection en 1937 (Breuil et Cie), puis vers 1965 en magasin de commerce spécialisé dans les articles de sport.L'usine de chaussures emploie 88 ouvriers en 1914, 163 en 1920 (dont 86 femmes et 15 enfants), 90 en 1925. Elle est équipée de 17 machines en 1914, 22 en 1925.
Adresse : 18 place Winston-Churchill

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1er quart 20e siècle
Année de construction : 1902
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu

Usine de chaussures Pineau et Pauzet, actuellement édifice sportif

usine de chaussures Pineau et Pauzet, actuellement édifice  sportif
usine de chaussures Pineau et Pauzet, actuellement édifice sportif
Histoire : En 1920 la société en nom collectif Pineau et Pauzet fait édifier cette usine de chaussures spécialisée dans la fabrication de talons et contreforts. Elle est agrandie dès 1922. Devenue les Etablissements J. Pauzet au début des années 1930, l'entreprise s'associe à la société Balage et Compagnie vers 1960, puis quitte le site pour s'implanter à Nexon (87). A partir de 1989 les ateliers sont reconvertis en édifice à vocation sportive : centre de fitness et de remise en forme, musculation...L'usine emploie 12 ouvriers en 1935, 11 en 1950, 23 en 1965.
Adresse : 89 rue du Chinchauvaud

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1er quart 20e siècle
Année de construction : 1920 ; 1922
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu

Usine de chaussures Pérout Malinvaud, puis Ribière et Delaume, puis chocolaterie Maupetit, puis usine de chaussures Ribière, puis Schneider, puis Laplagne, actuellement école professionnelle

usine de chaussures Pérout Malinvaud, puis Ribière et Delaume,  puis chocolaterie Maupetit, puis usine de chaussures Ribière, puis  Schneider, puis Laplagne, actuellement école professionnelle
usine de chaussures Pérout Malinvaud, puis Ribière et Delaume, puis chocolaterie Maupetit, puis usine de chaussures Ribière, puis Schneider, puis Laplagne, actuellement école professionnelle
Histoire : Vers 1879 une usine de chaussures, probablement spécialisée dans la fabrication de galoches et de sabots, s'implante sur ce site, dans des ateliers nouvellement édifiés. Aux établissements Pérout Malinvaud succèdent M. Ribière en 1894, associé à partir de 1898 à G. Delaume. Incendiée en 1907, l'usine est reconstruite la même année par Alexandre Maupetit pour y Installer une chocolaterie qu'il exploite à partir du milieu de 1925 sous la raison sociale Chocolaterie Saint-Martial. En 1931 il transfert ses ateliers dans ceux de la rue Jules-Ferry, exploités par la Société Anonyme Le Chocolat, association des chocolateries Saint-Martial et Daccord. En 1933, Armand Ribière réinstalle une usine de chaussures dans les locaux libérés. Lui succède en 1936 J. Schneider, puis à partir de 1943 Laplagne, associé successivement à Fournier puis Bristou. L'activité, orientée alors vers la fabrication de chaussons, cesse au milieu des années 1960. Après un premier projet de reconversion en logements en 1962, les bâtiments industriels sont reconvertis en école de coiffure.La chocolaterie est équipée en 1914 de 24 cylindres, 4 appareils mélangeurs et 1 cylindre broyeur. La chocolaterie emploie 50 ouvriers en 1914, 39 en 1925. Les usines de chaussures successives emploient 22 ouvriers en 1895, 30 ouvriers en 1950, 35 en 1965.
Adresse : 28 rue Ferdinand-Buisson

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 4e quart 19e siècle ; 1er quart 20e siècle
Année de construction : 1907
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu

Usine de chaussures Sauteraud et Menard, puis usine de petite métallurgie Dupuy

usine de chaussures Sauteraud et Menard, puis usine de petite  métallurgie Dupuy
usine de chaussures Sauteraud et Menard, puis usine de petite métallurgie Dupuy
Histoire : Au lendemain de la Première Guerre mondiale, Ménard, associé à Sauteraud à partir de 1926, établit sur ce site une usine de chaussures spécialisée dans la fabrication de tiges piquées. En 1934 la société Sauteraud et Ménard quitte le site de la rue Saint-Paul pour s'installer rue de la Mauvendière. Les locaux sont alors repris par le dépôt de cuir de M. Errinschmidt. Depuis juillet 1955, ces ateliers sont occupés par la société Dupuy, fondée en 1932 rue des Grandes Pousses. Cette entreprise de petite métallurgie est spécialisée dans l'affûtage de lames de scie.L'usine de chaussures emploie 15 ouvriers en avril 1920, 50 en décembre de la même année, 60 en 1925 (et possède 12 machines mécaniques), 140 en 1926. L'atelier d'affûtage emploie 4 ouvriers en 2002.
Adresse : 29 rue Saint-Paul

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1er quart 20e siècle
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu

Usine de chaussures Sylvestre Vincent, actuellement immeuble à logements

usine de chaussures Sylvestre Vincent, actuellement immeuble à  logements
usine de chaussures Sylvestre Vincent, actuellement immeuble à logements
Histoire : C'est en 1903 que Sylvestre Vincent, fabricant de chaussures à Limoges depuis les années 1880, fait édifier cette usine. Elle est agrandie en 1922 puis en 1958. La production est commercialisée dans les années 1920 sous les marques Aristoky, Antigrippe et Attraction. L'usine ferme en avril 1974, tandis que la marque commerciale est reprise par le fabricant de chaussures de Limoges Weston. Seuls subsistent les ateliers construits en 1903, reconvertis en logement HLM.Les ateliers sont équipés de 22 machines en 1914, 28 en 1935.L'usine emploie 130 ouvriers en 1914, 243 en 1920 dont 117 femmes et 36 apprentis, 250 en 1926, 81 en 1935, 22 en 1950, 125 en 1965.
Adresse : 30 rue Ferdinand-Buisson

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1er quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle
Année de construction : 1903 ; 1922 ; 1958
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu

Usine de chaussures Tallet, puis usine de chaussures et de maroquinerie C.E.F.A.C., actuellement usine de construction mécanique et de construction électrique

usine de chaussures Tallet, puis usine de chaussures et de  maroquinerie C.E.F.A.C., actuellement usine de construction mécanique et  de construction électrique
usine de chaussures Tallet, puis usine de chaussures et de maroquinerie C.E.F.A.C., actuellement usine de construction mécanique et de construction électrique
Histoire : En 1930 Gabriel Tallet, fabricant de chaussures depuis 1916 à Limoges (IA87000300), fait édifier rue Eugène-Varlin une nouvelle unité de production sur ce site. Elle est acquise vers 1936 par Armand Leriche qui y implante, sous la raison sociale C.E.F.A.C., un atelier spécialisé dans la fabrication de pantoufles et un atelier de maroquinerie pour la fabrication d'équipements militaires. Un dépôt industriel est édifié par l'architecte Chabrefy en 1940, dont l'accès se fait par l'avenue du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny. Des extensions sont ajoutées en 1966 aux ateliers de 1930. A la fin des années 1960, l'activité est déplacée dans une rue voisine (rue Edmond-About). Les locaux de 1930 agrandis en 1966 sont occupés aujourd'hui par un atelier de mécanique générale, tandis que ceux de 1940 ont été intégrés au site voisin de l'usine de construction électrique Legrand.La société C.E.F.A.C. emploie 30 ouvriers en 1935, 55 en 1950.
Adresse : 106 rue Eugène-Varlin ; 207 bis, 209 avenue Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 2e quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle
Année de construction : 1930 ; 1940 ; 1966
Auteur(s) : Chabrefy (architecte)

Usine de chaussures Vacquand, puis Majour, puis Sauteraud, actuellement restaurant d'entreprise et entrepôt commercial

usine de chaussures Vacquand, puis Majour, puis Sauteraud,  actuellement restaurant d\
usine de chaussures Vacquand, puis Majour, puis Sauteraud, actuellement restaurant d'entreprise et entrepôt commercial
Histoire : Vers 1918, Léon Vacquand, issu d'une famille de fabricants de chaussures actifs à Limoges depuis les années 1860, établit sur ce site une nouvelle usine de chaussures. Les raisons sociales se succèdent : Majour et Demignon en 1924, Ménard et Beaudou en 1929, Beaudou et Majour en 1934. A partir de 1935, le fabricant de formes pour chaussures Ludovic Pabiot y implante les ateliers de sa société la Manufacture de Formes du Centre, en plus de ceux qu'il exploite rue Ferdinand-Lassalle et avenue de Montjovis. A partir de 1940, les ateliers sont repris par le fabricant de chaussures René Sauteraud, alors implanté rue de la Mauvendière. Les ateliers sont agrandis en 1940, puis en 1946. Au début des années 1960 les locaux sont réinvestis par un magasin de commerce et de réparation d'appareils électroménagers Philips. Actuellement les bâtiments sont partagés entre le restaurant d'entreprise d'une banque et un dépôt-vente.67 ouvriers travaillent dans l'usine de chaussures en 1920, 60 en 1926, 25 en 1950. Ludovic Pabiot emploie 13 ouvriers en 1935.
Adresse : 87 rue du Chinchauvaud ; 10, 14 rue Frédéric-Mistral

Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1ère moitié 20e siècle
Année de construction : 1940 ; 1946
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu

 

 

 

 

J.M. Weston La référence 180
J.M. Weston La référence 180

Malgré une sonorité typiquement anglo-saxonne, J.M. Weston est une entreprise française, dirigée depuis 1974 par la famille Descours, et plus particulièrement Gérard Descours (Président) ainsi que Christopher Descours (Directeur général). Le savoir-faire unique de la maison se conjugue désormais avec la présentation réguli ère de nouveaux modèles. Ils font évoluer tout en subtilité le style J.M. Weston qui allie modernité et élégance.

Site : http://www.jmweston.com/

 

 




17/02/2011
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