Salopette
courte en "cotton peach". Collection ELEGANT. 2 poches plaquées sur
poitrine. 2 poches plaquées sur hanches. 1 poche plaquée avec rabat et
bouton sur dos.
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Loudun, en Poitou-Charentes est située à une heure
des grandes agglomérations, Poitiers, Angers, Tours ainsi que du
Futuroscope.
Loudun compte 8 111 habitants au dernier
recensement et fait partie de la Communauté de communes du Pays
Loudunais (45 communes sur 4 cantons).
Accès
par routes : Poitiers – Loudun – RN 147– Distance : 50
km (35 min)
par autoroutes : A 10, sortie
24 Joue-les-Tours Chinon ou sortie 25 Sainte-Maure-de-Touraine
par train : Pour en savoir
plus, cliquez ici : SNCF
ou Ter SNCF
par avion : Aéroport de
Poitiers-Biard - Tél. 05 49 30 04 42
Aéroport d'Angers Marcé 1h15 Tél. 02 41 33 50 20
![]() | Je m'appelle Vincent Ogloblinsky. J'ai été étudiant pendant 4 ans à Limoges, à l'Ecole Nationale Supérieure d'Ingénieurs de Limoges (E.N.S.I.L) Ce projet est né mi-septembre 2006 après avoir acquis de bonnes bases en photographie panoramique pendant une année; il me tenait à coeur car j'ai adoré vivre à Limoges, la vie en tant qu'étudiant est magnifique, et le charme de cette ville fait qu'elle méritait d'avoir comme d'autres villes françaises ou étrangères sa propre visite virtuelle. |
[ 12/08/10 - 18H40 - Les Echos - actualisé à 11:41:52 ]
Entre caves, galeries, aqueducs, cryptes, passages divers et réserves secrètes, la cité des arts du feu est en quelque sorte dupliquée sous quelques mètres de terre. Pas une rue, pas une maison, pas une place ou un monument qui ne possède son double souterrain auréolé de mystères et de légendes. A l'origine, à l'époque post-médiévale, il s'agissait de gagner de l'espace sous les constructions étroites composant les deux agglomérations limougeaudes d'alors, la Cité et le Château. Au fil des ans, entre lieux de culte, greniers à grains, galeries de liaison, citernes, l'ensemble s'est étoffé, se complétant de puits, de salles, d'égouts, creusés dans un tuf granitique à la fois tendre et solide, avec cheminées d'aération et passages plus ou moins secrets. Les guerres, qu'elles soient de religion, civiles, locales ou mondiales, les événements sociaux, culturels, maçonniques ont souvent constitué des avatars supplémentaires générant l'utilisation et l'extension de ce qui devenait lentement un véritable réseau souterrain.
En 1520, un drame rapporté par les historiens laisse imaginer l'importance de ces labyrinthes. Cette année-là, une servante d'un notable de la rue de la Cité, s'aventurant dans les sous-sols pour aller chercher du vin en cave, n'en est jamais ressortie vivante. Perdue, errant durant trois jours dans l'obscurité, la malheureuse est devenue folle en se croyant aux Enfers après avoir fait irruption dans le fournil brûlant d'un boulanger. On a retrouvé ensuite son cadavre, cheveux blanchis, visage décharné, à l'entrée du souterrain de la Règle, qui se visite d'ailleurs de nos jours. « C'est le seul mort connu, précise Laurent Girard, de l'office du tourisme. Depuis, on a toujours retrouvé les égarés, mais on ne sait jamais… »
Toute cette structure cachée, parfois occulte, connue dans certaines de ses parties par les seuls initiés, a suscité curiosités et recherches, tentant les chercheurs de tous poils, amateurs de sensations fortes, aventuriers spéléologues, historiens. Si des associations - comme la très active Archea -se sont formées, se consacrant officiellement à la découverte et à l'exploration, ainsi qu'à des relevés topographiques, beaucoup de particuliers se promènent actuellement dans ce sous-sol mystérieux. Un sous-sol dont il est par ailleurs impossible de dresser un état exhaustif, les domaines privés et public s'imbriquant en permanence sur un, deux, voire trois niveaux. Ces curieux y recherchent des sensations fortes, des vestiges, des trésors très hypothétiques, mais aussi le souffle d'une histoire et d'un passé agités.
La ville de Limoges a très rapidement perçu les avantages qu'elle pouvait tirer de ces souterrains et de leur attrait pour le tourisme local. 20.000 euros sont attribués annuellement, depuis 1997, à l'établissement de cartes et de nouveaux relevés. Car cavités ou conduits nouveaux apparaissent à chaque nouveau chantier de voirie ou d'urbanisme effectués. La modeste partie qui se visite depuis 1993 permet d'entrevoir les résultats de l'opération plus ambitieuse en cours : plus de 3.000 visiteurs payants sont passés sur le site durant les deux mois de l'été 2009, contre à peine 300 en 1993. « Les souterrains sont devenus une valeur sûre du tourisme, estime Bernard Vareille, adjoint au maire chargé de l'urbanisme. Ce qui nous incite à tripler d'ici à 2011 l'espace accessible. » Récemment classée « Ville d'art et d'histoire », Limoges souhaite proposer un ensemble cohérent et attractif de son passé, dans lequel son sous-sol serait une composante non négligeable.
Nom
L'étymologie du mot "salopette" vient de "sale" ou plus précisément de "salope", en vieux français, qui signifiait alors "crasseux"... En effet, à sa création, la salopette était bien différente du vêtement que l'on connaît aujourd'hui. Elle consistait en une large combinaison de travail, portée par les ouvriers sur leurs vêtements, pour éviter des les salir.
Création
A l'instar du jean ou du perfecto, la salopette est à l'origine un vêtement de travail créé pour ses vertus pratiques. L'histoire remonte au 19ème siècle. A l'époque, un certain Adolphe Lafont eut l'idée de créer ce vêtement pour faciliter la vie de son beau-père, charpentier de profession.... Las de l'entendre maugréer, car sans cesse à la recherche de son mètre pliant, il aurait eu l'ingénieuse idée de coudre une "poche mètre" à la ceinture de son pantalon de travail.
Perfectionné et breveté à la fin du 19ème siècle, ce premier modèle s'est ensuite muni d'une "bavette" (ou plastron), maintenue par des bretelles. C'est alors qu'un certain Levi Strauss , inventeur américain du blue jean, s'en est inspiré pour commercialiser les premières salopette en denim (lire Et Levi's créa le jean )....
Evolution
Largement adoptée par les travailleurs au 20ème siècle, la salopette
devient le vêtement phare de la révolution industrielle. Adoptée dans
toutes les usines automobiles et autres, elle est ainsi immortalisée par
Charlie Chaplin lui-même dans Modern Times, pamphlet humoristique dénonçant le travail à la chaîne.
Elle
devient également l'habit symbole des agriculteurs : on pense aux héros
de John Steinbeck et à la famille Joad touchée par la Grande Dépression
dans Les raisins de la colère, adapté au cinéma par John Ford.
A partir des années 50 et jusqu'aux eighties, l'entreprise Lafont innove avec plusieurs versions de son modèle 406 : une salopette revue et corrigée, plus moderne qui se teinte alors de couleurs vives et bariolées. C'est dans ces circonstances que ce vêtement populaire est adopté par la sphère fashion et fait la une du célèbre magazine Vogue.
Démocratisée, réinterprétée par les créateurs, elle est rapidement
portée par les plus branchés et fait fureur aux Etats-Unis. Unanimement
adoptée - adultes, femmes enceintes, ados mais surtout les enfants -
elle sera par la suite délaissée pendant de longues années. Trop
associée à une image enfantine, elle devient le vêtement fétiche des
éternels adolescents, bien déterminés à ne pas grandir...
La tendance aujourd'hui
Depuis quelques années, la salopette fait son retour et sous de multiples formes. C'est en premier lieu la combinaison qui s'est imposée sur les podiums : combi-pantalon, combi-short, combi-sarouel... Loin de sa fonction originelle, elle devient la pièce chic du dress code des années 2000, revisitée par Yves Saint-Laurent, Proenza Schouler, Anna Sui ou encore Max Mara.
Lors des collections Eté 2010, Ralph Lauren et Jean-Paul Gaultier ont misé sur la salopette, la propulsant alors sur le devant de la scène. Très remarqué, le premier s'est inspiré du style des années 30, proposant des pièces en denim, oversize, délavées et maltraitées.... Alors que Jean-Paul Gaultier l'a réinterprétée dans une veine plus hip hop et tribale.
Katie Holmes, Alexa Chung ou encore Helena Christensen n'ont pas hésité à adopter la tendance (lire "6 manières de porter la salopette"), déclinant chacune à leur manière la salopette boyfriend, short ou froncée....
Salopette
courte en "cotton peach". Collection ELEGANT. 2 poches plaquées sur
poitrine. 2 poches plaquées sur hanches. 1 poche plaquée avec rabat et
bouton sur dos.
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Bilan du sondage "lepetitlemovice" pour ou contre le Tgv :
22 votes pour ( 71 °/°)
8 votes contre ( 22 °/°)
1 vote indecis
bien sur les votes sont toujours ouverts ainsi que le petit nouveau : pour ou contre le Family Village!
En ligne depuis juin dernier, ce nouveau portail de l’Aéroport
Vers la fin du mois de juin, nous avons décidé d’aller voir une
cousine de mon mari qui demeure à Roussac dans la Haute Vienne. A 93
ans, pas question de lui demander l’hospitalité, mon mari s’est donc mis
à la recherche d’une chambre chez l’habitant en essayant de passer sur
le site aubergeetfermeauberge.com, mais il n’a rien trouvé. C’est donc à
partir du site internet des gites de France que nous avons trouvé une
chambre chez l’habitant tout près de Limoges.
SITUATION
.C’est en pleine campagne, mais à proximité de
Limoges que se situe cette maison d’hôtes. De Paris, nous ne
quittons l’autoroute que pour entrer dans le petit chemin qui mène
jusqu’au lieu dit « Le Poudrier ». Le prix à payer pour le péage depuis
Paris s’élève à 16.70 €
.
L’adresse :
Lieu dit « Le Poudrier »
87000
LIMOGES
Téléphone 05 55 10 18 00
FAX 05 55 10 14 32
Portable
06 71 38 19 43
Adresse e-mail : le-poudrier@orange.fr
Site
internet : www.le-poudrier.com
.
Je vous donne en quelques mots
l’historique de cette propriété.
.
Cette propriété de 4 hectares en
bord de la Vienne, fut d’abord au XVI° siècle un moulin à farine
dit « ventre de Limoges », avec comme particularité deux roues à aubes.
.
Plus
tard, le moulin fut réquisitionné par Louis XIV comme Moulin Royal pour
la fabrication de poudre à canon d’où vraisemblablement le nom Le
Poudrier.
Par la suite, le site a été successivement une usine à
Porcelaine, une centrale hydroélectrique, et une filature.
.
Le
Poudrier est une propriété privée composée de 4 bâtiments
.C’est par un chemin terreux, plein de bosses, de trous
et de creux sur 2 km environ que nous sommes arrivés à l’entrée de la
propriété. Le parking était rempli de voitures. C’était moi qui
conduisais, je me suis malgré tout, enhardie d’entrée dans le chemin de
la propriété un peu gênée, mais il fallait bien se poser quelque part…
La propriété était tellement belle que j’avais l’impression que la
voiture écrasait tout sur mon passage
Rapidement, un homme avec
un accent est venu nous saluer et visiblement nous attendait puisque
aussitôt il nous a demandé si nous venions pour quelques jours…
Je
lui ai demandé si nous gênions à l’endroit où nous étions garés mais il
nous a rassurés en disant que non et qu’en plus dans la soirée le
parking serait libre, c’était une réunion qui avait lieu dans un des
bâtiments mais qu’enfin d’après-midi, le parking serait libéré.
Il
nous a dit qu’il ne savait plus très bien quelle chambre nous avait été
attribuée, qu’il allait chercher son agenda et revenait. Il nous a
ensuite conduits dans notre chambre, en nous donnant priorité avec la
vue sur le jardin puisque nous restions plusieurs jours.
Il nous
a demandé si nous voulions internet, et nous a expliqué que les
chambres étaient câblées, qu’il suffisait simplement qu’il nous monte un
Si notre chambre donnait au premier étage, au rez
de chaussée se trouvait une cuisine où tranquillement le matin nous
pouvions venir prendre notre petit déjeuner à l’heure qui nous
convenait. Nous avions à notre disposition, une cafetière, un paquet
de café, des sachets de thé, du pain, un jour nous avons eu des minis
croissants, pains au chocolat… Dans le réfrigérateur nous trouvions
beurre, lait et confiture. Nous prenions notre petit déjeuner comme à la
maison. Il y avait 4 chambres et pourtant nous n’avons toujours déjeuné
que tous les deux. Par contre, toujours le même souci, les gens sont
mal élevés, nous sommes arrivés après les autres occupants d’une
chambre, croyez-vous qu’ils n’auraient pas pu desservir leurs bols et
couverts… et bien non, notre place était propre, mais, c’est toujours
désagréable de prendre un repas à côté des restes des uns ou des autres.
Il y avait un évier, c’était facile d’y déposer la vaisselle salie.
.
.
.
Cette ambiance chez l’habitant, on aime ou on
n’aime pas.
Pour nous, cela aura été un véritable plaisir. D’une
part parce que les propriétaires sont adorables, si Paolo est beaucoup
plus réservé que Jacky, ils ont tous les deux le cœur sur la main. Ils
ont sans cesse été très attentifs à ce que rien ne manque ni dans la
chambre ni au cours des dîners.
J’ai vraiment aimé ces repas dans
cette ambiance internationale.
Petite anecdote pour vous donner une
idée de l’accueil de ces propriétaires.
Les brésiliens étaient sur
Limoge 5 jours pour trouver un appartement ou une maison, afin de venir
avec leurs deux enfants s’installer pour y travailler. Les propriétaires
ont déployé une très grande énergie pour ce jeune couple afin de les
aider dans leurs démarches. Avec nous, ils cherchaient à nous aider pour
notre emploi du temps du lendemain, mais en fait nous savions vraiment
ce que nous voulions faire, puisque nous étions là pour rencontrer la
cousine de mon mari.
Ce qui ne nous a pas empêché de faire quelques
balades notamment au Lac de Vassivière et à Oradour… mais pour cette
ville pas question de vous faire un avis, trop dur, trop émouvant…. Je
me demande encore qu’est-ce qui nous a pris d’aller là-bas !!!
..
Nous
avons eu la chance qu’il fasse très beau pendant nos 4 jours passés au
Limousin, nous avons pu profiter de la propriété ; Le dimanche, en fin
de journée, sur deux fauteuils de jardin qui se trouvaient devant la
Vienne, nous avons passé un certain temps à profiter de la beauté du
paysage, à lire et à papoter. Il y avait un peu de monde et les
propriétaires servaient du thé, du jus de fruit….
.
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TARIFS
Il
y a 4 chambres,
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4 chambres • 12 personnes • Table d'hôtes, les
chiens ne sont pas admis
Nuitée 1 personne : 50 €
Nuitée 2
personnes : 60 €
Nuitée 3 personnes : 90 €
Nuitée 4 personnes :
120 €
.
Prix du repas : 20 €
.
Nous avons réglé
pour 4 nuits et 4 dîners à deux la somme de 400 €…
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Cette propriété de 4 hectares en bord de Vienne, fut d’abord au XVI°siècle un moulin à farine dit « ventre de Limoges », avec comme particularité deux roues à aubes.
Plus
tard, il
fut réquisitionné par Louis XIV comme Moulin Royal
pour la fabrication de poudre à canon d’où
vraisemblablement le nom Le Poudrier.
Par la suite, le site sera successivement une usine à
Porcelaine,
une centrale hydroélectrique, et une filature.
Le site actuel du Poudrier, doit son existence, à Esmoing de Lavaublanche, propriétaire de l’actuel château de Fougeras sur la commune de Condat et également du château de Gorre. C’est une de ses filles, Philippine, qui l’avait reçu en dot lors de son mariage avec Monsieur De Rocard, riche banquier new-yorkais. A son décès, en 1848, la propriété fut vendue à la famille Boucheron, filateurs, habitant le Domaine du Prouet, sur l’autre rive de La Vienne.
En 1998, Jacques Vigneras
fait l’acquisition
du domaine et entreprend sa restauration avec Paolo Del
Vecchio.
Le site retrouve alors son prestige.
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Situé sur un territoire compris entre l'autoroute A20, les avenues Jean-Gagnant et des Casseaux, ainsi que la manufacture de porcelaine Royal Limoges, le projet devrait renforcer la position d'entrée de ville des Casseaux. Ici, quotidiennement, près de 50.000 véhicules circulent le long de la Vienne. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'attractivité visuelle du secteur ne brille guère.
Pour remédier à cela il est ainsi envisagé de créer une place des Casseaux entre Royal Limoges et le bas de l'avenue Jean-Gagnant (lieu actuellement utilisé comme parking). Une place qui serait ensuite reliée au quartier Montplaisir par une nouvelle voie de 300 à 400 mètres et qui passerait à proximité du centre commercial Géant Casino.
Un Mac Do, un restaurant, un parking relais... « Cela permettrait de desservir les futurs espaces économiques, mais aussi d'améliorer l'accessibilité du quartier pour les riverains et de désengorger le carrefour au niveau de l'avenue des Casseaux », confirme Claude Lanfranca. Les projets d'accueil d'un Mac Donald's et d'un restaurant sur cette nouvelle place des Casseaux gagnent également du terrain.
Un parking relais, un pôle d'échanges intermodal favoriseront l'ensemble des modes de déplacements. Le renforcement des lignes de bus, mais aussi le développement de liaisons piétonnières notamment en direction des bords de Vienne sont annoncés.
Anticipation de la LGV. « Nous souhaitons favoriser la création de bâtiments dédiés aux activités de commerce et de tourisme », insiste Claude Lanfranca. La culture, avec le centre municipal Jean-Gagnant et le tourisme avec le four des Casseaux pourront également bénéficier de ces aménagements.
Et puis, « nous anticipons l'arrivée de la ligne à grande vitesse », poursuit l'élu en regardant en direction de la gare des Bénédictins.
En effet depuis 1797, son histoire inclut les plus grand noms de la porcelaine de Limoges : Alluaud, Clèment, Gérard, Dufraisseix, Abbot (origine G.D.A), et Lanternier appartiennent à son patrimoine.
Union indissociable de deux siècles de tradition porcelainière ainsi que des techniques de fabrication et de décoration les plus sophistiquées, Royal Limoges a su rester une des rares affaires familiales indépendantes.
Installée depuis 1816 Faubourg des Casseaux (rue Donzelot aujourd'hui), à quelques pas de la Vienne, elle recevait le bois, combustible des fours, par flottage. La matière première provenait de ses carrières de kaolin et la pâte était préparée dans ses propres moulins.
Aujourd'hui, elle continue à fabriquer sa propre pâte. Ses décors sont imaginés par des cabinets de style ou par les décorateurs de ses propres clients et sont tous exclusifs. Depuis maintenant de nombreuses années une usine ultra-moderne située au Dorat, dans les environs de Limoges, apporte sa technique et son savoir faire en complément des fabrications traditionnelles des Cassaux.
Une vocation exportatrice très forte, une créativité bicentenaire, une recherche constante de la qualité et de la productivité lui permettent d'offrir sur le marché l'une des gammes les plus complètes et les plus prestigieuses de porcelaine avec la garantie : "fabriquée et décorée à Limoges".
Services de tables, compléments pour la table, articles cadeaux, articles publicitaires et porcelaine hôtelière composent la collection Royal Limoges permettant de satisfaire la clientèle la plus exigeante.
Des Hôtels Crillon, George V, Ritz et des grands noms de ce monde ont fait confiance à la renommée de notre société.
La création d’un centre aquatique de Limoges Métropole est un nouveau
grand projet de la Communauté d’agglomération après la Voie de Liaison
Sud et le Zénith.
Il a pour vocation de favoriser l’accès à l’apprentissage de la natation
pour un large public, de proposer des activités ludiques et des
activités de bien-être (santé-forme). Il va permettre également
l’organisation de manifestations sportives inter-régionales, nationales
voire internationales.
Cet équipement (12 000 m2 de surface couverte et 27 000 m2 de surface
extérieure) contribuera, par son envergure, à renforcer l’attractivité
de Limoges Métropole.
Sa construction nécessitera des dizaines de milliers d’heures de
travail, apportant ainsi un soutien à l’emploi dans l’agglomération.
Les financements ont été répartis comme suit : l’Etat à hauteur de
50%, la Région pour 10%, le Département pour 10%, la Communauté
d’agglomération couvrant les 30% restants.
Cette enveloppe financière prévisionnelle couvre la totalité des
coûts : ceux de la construction des bâtiments mais aussi tous les
aménagements (espaces extérieurs, réseaux) et l’ensemble des frais de
missions (architecture, ingénierie, études et contrôles).
Le centre comportera trois espaces:
Bassin extérieur.
Horaires en Juin : lundi 12h-19h45, mardi-mercredi-vendredi 12h-19h, jeudi 12h-20h30, samedi et dimanche 10h-19h45. Horaires d'été : 10h-19h45 du lundi au dimanche. Entrée individuelle : 2,90 € - Possibilité d'abonnements (5 entrées, 10 entrées, ...)